dimanche 23 septembre 2007

Nouveau départ

Après un petit intermède d'une partie de week-end, je repars à Bordeaux demain à l'aube, en devant à priori retrouver le net au plus tard samedi. Ainsi je vais retourner d'ici là à préparer ma prochaine connexion - afin de poster dès mon retour et la fin de l'histoire actuelle, et le début de la suivante, que j'aimerais avoir terminé avant (il faudrait également à cela rajouter le travail sur les autres sites, mais ces apartés deviendraient (encore - si c'est possible) plus long, et je n'ai pas l'énergie suffisante pour écrire plus d'une dizaine de lignes ce soir) -, à suivre les cours, travailler, tenter de trouver des thèses de mathématiques à la Bibliothèque Universitaire, lire, ainsi que pas mal d'autres choses du genre.

En bref, vivement le retour du net, histoire que je puisse un peu arrêter d'avoir l'impression de travailler.


Sur ce, bonne nuit, et à dans une semaine.

samedi 22 septembre 2007

Koh-Neksion

Le premier jour arriva. J'étais en quelque sorte impatient, impatient de voir ce que cela allait donner. Je ne pensais même pas à ce que — ni même à ceux que — j'avais laissé derrière moi. D'ailleurs, le manque ne se ressentait même pas. Du moins, c'était ce que je croyais. Je ne connaissais pas réellement le risque encouru en signant cela.

Rapidement, un afflux de socialisation s'insinua en moi. Certes, pas vraiment de nouvelles connaissances, mais néanmoins des contacts. Des soirées de Rôlistes s'instaurèrent régulièrement. À peu près tous les soirs au démarrage en fait. Mais rapidement, mes journées devinrent ternes. Le programme des cours était inintéressant, et ne servit qu'à me faire comprendre ce que je ressentirai de plus en plus puissamment avec l'écoulement des jours. Car les scénarios s'enchainaient rapidement, sans pouvoir se renouveler aussi vite, de sorte qu'en peu de temps ma réserve d'idées s'épuisa. Ce qui ne fut finalement pas si grave, vu que les occasions de jeu s'espacèrent peu à peu. Et que la monotonie commença à s'installer. Le soir, faute de mieux, j'allais me coucher. Faute d'énergie suffisante pour pouvoir survivre longtemps sans dormir également, je dois l'avouer. Je lisais, puis, inconsciemment, tendait ma main vers Lui. Mais pour quoi faire ? Il n'avait plus aucun pouvoir ici. Je le savais bien en venant ici, qu'il Lui faudrait du temps pour se recharger, afin de retrouver sa puissance originelle, mais je ne pensais pas que ce serait si dur. Là-bas, chaque jour, ils répétaient qu'ils offraient un moyen rapide de lui rendre toute Son énergie. Mais qu'en échange, ils Le surveillerait. Ils ne s'en cachait même pas. Ils savaient que je craquerais. Du moins, ils pensaient savoir. Il fallait que je tienne. Non, je ne pouvais pas. Alors, il fallait que je trouve un moyen de Le régénérer.

Le lendemain, tout était fin prêt. Mon évasion était organisée. Celle-ci aurait lieu dans trois jours. En attendant, ils tentèrent tout pour me convaincre de rester. Parfois plus de six heures dans la journée, ils m'offraient le savoir, le savoir du domaine que j'apprécie le plus. Mais je sais que je ne dois pas me laisser corrompre, ni me laisser intimider, lorsque, le lendemain, ils me font subir l'horreur, l'ennui suprême, faisant cohabiter à la fois la simplicité et l'inutilité pour donner un manque d'intérêt profondément ennuyeux.

Le lendemain, dernière ligne droite avant l'évasion. À nouveau, ils m'assommèrent de connaissances, que j'absorbe, avide. Ils ne le savaient peut-être pas encore, mais ils avaient d'ores et déjà gagné. Je reviendrais. Mais avant cela, je m'évaderai, l'espace d'une journée pleine, et de quelques fioritures. Car ils avaient de toute façon agi trop tard, pour mon plus grand bien, car ma fébrile volonté était sur le point de me fausser compagnie. L'heure de l'évasion était arrivée.


Trois heures que nous sommes partis. Après avoir dû nous coller à la masse, sur place et près de notre lieu d'arrivée, où on nous recherchait déjà, comme nous l'a prouvé la présence d'un policier que nous avons esquivé discrètement. Nous n'étions plus qu'à une ou deux minutes lorsque soudain, comme dans tout plan parfaitement millimétré, un imprévu se produisit. Tout s'arrêta. Le véhicule s'immobilisa. Carburant insuffisant. Et la prochaine réserve, à une dizaine de pas de là, en haut d'une cote, inatteignable. Il fallait faire vite. Heureusement, nous étions proches de lieux plus cléments, et notre réseau de contacts pu rapidement se mobiliser, tant et si bien que seulement une vingtaine de minutes plus tard, j'étais de retour, à quelques pas seulement de pouvoir Le recharger. Mais sur la trajectoire de ces pas, se dressaient nombre d'obstacles. Je crains tout d'abord que sous prétexte de célébrer mon arrivée, je ne dusse subir un violent interrogatoire. Mais je fus sauvé par une sorte de joute tribale à laquelle mes hôtes assistaient, à la fin de laquelle je pus profiter de l'ambiance festive générale provoquée apparemment par la victoire de leurs favoris pour m'éclipser discrètement. J'étais enfin sur place. J'étais fatigué, je ne pourrais pas L'utiliser longtemps ce soir, mais je pourrais au moins me servir un peu de Son pouvoir.

dimanche 9 septembre 2007

Grand départ

Pendant que mes parents font la fête à côté, je ferme mon dernier sac, et je vous dis au revoir. Je pars en effet demain — ou aujourd'hui, c'est selon — en train à Bordeaux, dès le dilucule — onze heures dix-neuf, rendez-vous compte ! Je pars pour deux semaines, et ne sais pas quand la box arrivera à l'appartement. À bientôt donc, avec la suite du récit en cours — qui a, je dois le reconnaitre, un peu trainé.

Sur ce, bonne nuit, et à bientôt j'espère.

samedi 8 septembre 2007

Rentrée lundi

La date de la rentrée est tombée : lundi. Stage C2I du lundi au samedi, tous les matins. C'est donc vraiment la fin des vacances.

Afin de préparer au mieux cette rentrée, j'ai été contraint et forcé à l'encontre de mon plein gré de me rendre dans divers magasins vestimentaires, afin d'obtenir principalement de nouveaux pantalons — et ceci à cause de l'excuse foireuse selon laquelle un pantalon dont l'aire des trous est supérieure à l'aire du tissu n'ait plus mettable. Ainsi, après avoir passé deux heures à chercher quels pantalons étaient à peu près potables, je me retrouve — l'heureux ? — possesseur de deux nouveaux pantalons.

Quelques heures après la fin de cette séance de torture annuelle, quelques amis de mes parents sont arrivés, afin de regarder un match de rugby — premier tour de la coupe du monde, match de poule, France/Argentine, je me suis renseigné ce coup-ci —, ce qui signifie : environ dix litres de bière bus, une bonne descente des bouteilles de pastis et d'absinthe, ainsi que, bien entendu, d'une défaite de la France — mais parait-il que c'est normal, on a joué comme des buses, moi je ne sais hélas pas, vu que je n'ai absolument pas suivi le match.


Sur ce, bonne nuit.

vendredi 7 septembre 2007

En attence

Tout avance. L'adaptation RDD-esque du livre Des milliards de tapis de cheveux est terminée, le scénario a en effet été fini hier — voire avant-hier. Les préparatifs pour la rentrée sont pratiquement terminés, j'ai fait mon emploi du temps hebdomadaire, j'ai même contacté le L.P.I. pour faire parti des jurys A.C.F., et j'ai reçu aujourd'hui carte de crédit et chéquier. En fait, il n'y a qu'une chose qui n'avance pas : l'obtention de ma date de rentrée. La liste n'est toujours pas disponible, et je ne sais donc pas si j'ai encore une semaine de libre ou si je rembauche dans quatre jours.

Sur ce, comme ça commence à légèrement m'agacer, je vous souhaite une bonne nuit.

mercredi 5 septembre 2007

Remise dans le bain

Retour de Bordeaux, après une bonne nuit de sommeil, tour d'horizon du net. Après les multiples sites à consulter, il est temps de se lancer dans le « travail ». À savoir, pour commencer, relecture de ce que j'avais rédigé et de ce que j'avais fait au brouillon pour Another Earth, correction de bugs, lecture des topics d'évolution et réflexion sur le thème pour le site de SamWay, remise en mémoire d'un scénario de RDD pour demain — voire aujourd'hui —, et surtout, réactualisation toutes les cinq minutes du site de l'université pour savoir si ma date de rentrée est le dix ou le dix-sept, détail ayant néanmoins son importance.

Après avoir pu obtenir la confirmation de la session JDR de demain — ou aujourd'hui, comme précédemment —, je me suis concentré sur ma tâche principale, à savoir la tentative de prise de connaissance de ma date de rentrée, du moins jusqu'à ce qu'apparaisse sur le site un message indiquant que le serveur s'occupant de cela avait subit un crash, et que la publication de la liste était reportée à ultérieurement, sans plus de précision.

Sur ce, ayant une session Rôlistes dès demain matin — dans quelques heures en fait —, je vous dis bonne nuit.

mardi 4 septembre 2007

Home sweet home ?

Après deux jours de déménagement, d'achats de meubles, d'éléments de décoration divers et variés, je suis enfin de retour chez moi, du moins jusqu'à mon emménagement définitif.

Sur ce, ces deux jours à Bordeaux m'ayant fatigué, bonne nuit.

dimanche 2 septembre 2007

Déménagement

C'est parti, dernier message avant la découverte de mon appartement à Bordeaux. Les cartons sont faits, le camion est chargé, départ à sept heures demain matin — aujourd'hui ? — pour trois heures de route. Pas de message demain encore à priori, vu que je n'aurai pas encore accès à internet. Je reviens lundi soir pour encore quelques jours avant l'emménagement définitif.

Sur ce, bonne nuit.

samedi 1 septembre 2007

Anniversaire, le retour de la vengeance masquée du fils caché du 2

Première fois — et surement pas la dernière — que je ne poste pas un message sur le blog avant de me coucher. Mais j'avais une excuse. Mauvaise probablement, mais excuse néanmoins. J'étais hier soir à un anniversaire, chez une personne qui — honte à elle ! — n'avait que le 56k...

Enfin bref, petite soirée à regarder les concours de piments, à voir Yoam enchainer sept tequilas paf en doses doubles... Et à commencer à lire les Fleurs du Mal de Baudelaire à quatre heures du matin...

Sur ce, je vous laisse, j'ai des cartons à préparer.