La Fin
Prologin, c'est fait. Très sympa. Très fatiguant aussi. Trente-six heures sans dormir, à tenter de faire en sorte que des hamsters veuillent bien ramener des pommes sans se jeter dans le premier trou qui soit sur leur chemin ou pas. Au moins maintenant, je sais à peu près comment m'y prendre pour faire une IA : pas du tout comme je l'ai fait, même si au final elle marchait plutôt pas mal. Je tenterai de ne pas renouveler mes erreurs la prochaine fois (principalement, ne pas faire tomber la crêpe qu'on vient de te préparer dans le bol de pâte à crêpe, après tu as un organisateur à dos pendant tout le week-end), et au moins j'ai un nouveau tee-shirt.
Prologin fini, retour à la maison (crevé) pour fêter l'anniversaire de ma sœur, et de découvrir qu'elle pense nommer le chaton-cadeau Chuck Norris.
Après ce week-end reposant, examen d'algèbre, puis d'astrophysique hier (avec, notamment, une question magnifique nous demandant de reconnaitre deux astronomes sur des tableaux...). Et maintenant, en un mot comme en cent : vacances (ou, en cent mots : période plus ou moins prolongée d'arrêt de travail, attendue impatiemment après l'ennui provoqué par celui-ci afin de pouvoir éprouver un ennui alternatif par son absence, se caractérisant par une propension à être encore plus fatigué que d'habitude, celle-ci à pour vocation l'oubli de toutes les connaissances accumulées durant l'année scolaire, afin de pouvoir de nouveau désespérer les professeurs grâce à la méconnaissance par leurs étudiants des conditions d'application du théorème de Taylor-Lagrange — seul des trois théorèmes de Taylor-Young, Taylor-Lagrange et Taylor reste intégral à être fondamentalement inutile, mais aussi seul à être demandé aux examens). Quatre mois de vacances, quatre mois pour terminer des projets ayant jusqu'à deux ans de retard, et pour trouver des choses à faire, parce que, sinon, ça va être un peu long.
Sur ce, je vous laisse, il faut que je me couche maintenant pour avoir une chance de me lever avant midi et regarder Bob l'éponge.
Prologin fini, retour à la maison (crevé) pour fêter l'anniversaire de ma sœur, et de découvrir qu'elle pense nommer le chaton-cadeau Chuck Norris.
Après ce week-end reposant, examen d'algèbre, puis d'astrophysique hier (avec, notamment, une question magnifique nous demandant de reconnaitre deux astronomes sur des tableaux...). Et maintenant, en un mot comme en cent : vacances (ou, en cent mots : période plus ou moins prolongée d'arrêt de travail, attendue impatiemment après l'ennui provoqué par celui-ci afin de pouvoir éprouver un ennui alternatif par son absence, se caractérisant par une propension à être encore plus fatigué que d'habitude, celle-ci à pour vocation l'oubli de toutes les connaissances accumulées durant l'année scolaire, afin de pouvoir de nouveau désespérer les professeurs grâce à la méconnaissance par leurs étudiants des conditions d'application du théorème de Taylor-Lagrange — seul des trois théorèmes de Taylor-Young, Taylor-Lagrange et Taylor reste intégral à être fondamentalement inutile, mais aussi seul à être demandé aux examens). Quatre mois de vacances, quatre mois pour terminer des projets ayant jusqu'à deux ans de retard, et pour trouver des choses à faire, parce que, sinon, ça va être un peu long.
Sur ce, je vous laisse, il faut que je me couche maintenant pour avoir une chance de me lever avant midi et regarder Bob l'éponge.
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